La maison - APCP HÔPITAL offre des soins de santé en général dans la médecine, la chirurgie, la pédiatrie, l'obstétrique et de la gynécologie ainsi que des services de consultation externe.L'hôpital dispose d'une École de soins Infirmiers qui est de la formation Kenya Enregistré les Infirmières en Santé Communautaire. D'autres unités sont de la Maison d'Hôtes et une Cafétéria.


País: 192.185.94.225, Amérique Du Nord, US

Ciudad: -95.4739 Texas, États-Unis

  • dblm - Excellent et fonctions très complètes

    Ce "petit" logiciel de montage vidéo a tout d'un grand, ou presque, en tous cas dès sa version Deluxe, celle-ci donc.

  • Nicolas Messina - L'auteur n'a pas réfléchi à la notion de réussite

    Charles Pépin n'est pas ce frère consolateur que j'attendais s'agissant d'échec mais l'un des mille avatars du tyran en développement personnel qui veut vous rendre meilleur : devenir créatif, utiliser ses connaissances, rebondir, faire feu de tout bois, réussir socialement, être une star, imiter les géants. Il n'y a pas une ligne pour le repos, le sommeil, la méditation, la fatigue, la mélancolie, le désespoir, l'insuccès chronique, les marginaux, les mendiants, les personnes considérées comme les déchets de la famille ou celles appelées "assistés" qui reçoivent des allocations. Charles Pépin ne nous offre pas une épaule secourable mais nous donne des baffes pour nous montrer la supériorité du soleil levant sur nos vies ternes et grises. Je ne sais pas si l'auteur passe à côté de son sujet mais il en traite un seul aspect et avec tant d'insistance qu'on se demande s'il cherche à nier toutes les autres vertus à l'échec. L'épaisseur du livre suggère un large éventail de notions autour de l'échec alors qu'il ne l'envisage que d'une seule façon, à l'aulne de la réussite.

  • Ju Do - Un classique de long en large

    C'est l'histoire d'une femme qui, pensant son mari mort, eut la faiblesse de s'abandonner à un autre. L'oeuvre commence après la naissance de leur enfant, à la condamnation publique de Hester Prynne. De cette intrigue somme toute simple ressort un roman complexe et touchant. L'identité de l'amant, le père de l'enfant d'Hester, se dessine par d'infimes touches au fil des chapitres, dans des tremblements de main et des gouttes de sueur visibles à qui sait les voir. Cette quête du "coupable", à la manière d'un récit policier, vient se mêler à l'histoire dominante du livre, celle de Hester, une des femmes les plus fortes de la littérature à mes yeux. Abominée par son village à la moralité puritaine calviniste très dure, forcée de porter en son sein la lettre qui signe son crime (A pour Adultère), elle commence une seconde vie à l'écart des autres, et pourtant parmi eux puisqu'elle refuse de quitter son village, pour se punir elle-même, mais aussi dans une sorte de fierté. Cette tension entre orgueil d'une femme amoureuse et remords insupportable de l'adultérine donne au texte un dynamisme exceptionnel, qui s'incarne dans la figure de la petite Pearl, l'enfant de la honte, petit lutin aux accents diaboliques qui court d'un bout à l'autre du roman, dans des robes toutes plus colorées les unes que les autres, dans une communauté grise. Si l'on doit s'identifier, avec qui le faire? Avec la coupable, ou son amant trop lâche pour se révéler? Avec l'esprit rigoureux et juste de cette communauté sans coeur?